La Bolivie est le pays des miracles, l'Amérique du Sud de Tintin, celle que l'on s'imagine et bien plus encore ! Les couleurs, les marchés, l'habillement, les sites, les contrastes, les… En plus de tous ces aspects qui vous surprendront jour après jour, ce pays est un merveilleux terrain de jeux pour les motards! Espaces, variétés de terrains, de paysages, de températures…

Le plein de sensations, mais attention…
 




Moto-Andina vous conduira (c'est une façon de parler…) au cours de ses circuits vers les sites les plus connus (Salar, lagunes du sud, Potosi, etc.) mais également hors des sentiers habituellement empruntés par les touristes. La moto donne cette liberté. De par son extension (deux fois la France) et sa densité (10 habitants au kilomètre carré), les étapes sont souvent longues et peuvent être fatigantes. Nos circuits sont essentiellement composés de pistes. La difficulté, d'un point de vue strictement technique, ne va que rarement au-delà d'un niveau moyen. Cependant, la longueur des journées, les conditions parfois extrêmes d'altitude et de températures rendent nos circuits exigeants d'un point de vue physique.

Nous ne cherchons ni la difficulté, ni à proposer des circuits "extrêmes". Nous cherchons plutôt à aplanir le plus possible les difficultés inhérentes au pays lui-même. Les voyages que nous organisons sont hors norme. Bonne humeur, curiosité, capacité de supporter un "certain inconfort" par moments, sont des conditions indispensables pour profiter pleinement d'un voyage au cours duquel vous verrez des paysages exceptionnels et vivrez une véritable aventure. L'expérience de la moto tout terrain est bien évidement très importante. La piste constitue au moins 60% de nos trajets. Cela va de pistes très roulantes jusqu'à des pistes extrêmement sinueuses et accidentées avec tous types de conditions (sable, boue, pierres, passages à gués, etc.). Des pauses sont bien sûr prévues ainsi que le temps pour prendre des photos et profiter des paysages, mais globalement, les journées sont chargées et pour la plupart des étapes, le rythme est soutenu afin d'éviter au maximum des arrivées nocturnes.

Un aspect qui n'est cependant pas moins important que la pratique de la moto est l'état d'esprit. Nous avons eu des clients qui n'avaient pas d'expérience en tout terrain (mais un bon niveau en routière), pour qui le raid s'est très bien passé. Ils ont roulé à leur rythme, n'hésitant pas à prendre place dans le 4X4 (voir paragraphe suivant) lorsqu'ils se sentaient un peu fatigués ou dépassés par le terrain. Ils ont pleinement profité du voyage et en gardent un bon souvenir. Par contre, nous avons eu également des clients possédant une bonne pratique du tout terrain mais pour qui le voyage à été une véritable épreuve. En plein désert, ce n'est agréable pour personne, ni pour eux, ni pour leurs camarades et cela peut-être dangereux. Nos voyages ne sont donc pas accessibles à tout le monde. Afin d'avoir les impressions d'anciens participants à nos raids, nous vous invitons à prendre contact avec certains d'entres eux. Leurs coordonnées sont transmises avec leur accord.

Certaines étapes sont donc éprouvantes. La plupart du temps le véhicule d'assistance emprunte le même trajet que les motos et à part sur certains tronçons particuliers, il n'est jamais très loin derrière les motos (10 à 30 minutes). A tout moment il est donc possible pour un motard d'y prendre place s'il venait à se sentir fatigué ou indisposé par l'altitude. Un guide conduira alors sa moto ou bien celle-ci sera chargée sur la remorque.

Lors de l'élaboration des circuits, Moto-Andina essaye d'alterner étapes difficiles avec celles moins fatigantes, des logements sommaires avec des logements confortables mais ce n'est pas toujours possible.

Vous l'aurez compris en lisant les lignes précédentes, la Bolivie est un pays encore sauvage et authentique. Elle ne dispose d'une infrastructure touristique et routière que très sommaire (moins de 5000 km de routes goudronnées…). Les conditions de confort sont donc parfois très lointaines de celles que l'on peut trouver dans les pays plus développés. Logement et repas sont parfois très spartiates !

Nous devons (et voulons) bien sûr nous plier aux coutumes et usages locaux.
 
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